Voici la suite du « salon pour l’amour du fil « avec un reportage photo de Reiko Kato. Comme beaucoup de patcheuses, nous avons des rêves : aller chez les Amish (déjà réalisé), suivre un cours avec une artiste japonaise. J’ai pu le réaliser cette année avec Reiko Kato et cela a été un grand bonheur.
Son univers est beaucoup centré sur le personnage de Sun Bonnet et des petites maisons. Elle a commencé il y a plus de 20 ans. Elle désirait réaliser des quilts pour sa fille qui venait de naitre. Comme beaucoup de japonaises, elle travaille des petites pièces en appliqué, avec beaucoup de détails. Pour l’appliqué, elle utilise la méthode du rentré à l’aiguille, qui demande beaucoup de minutie.
Reiko Kato utilise des tissus japonais mais aussi d’autres tissus américains. Sa gamme de coloris est très douce, elle n’utilise peu ou pas de couleurs vives.
Au salon, elle nous présente son dernier livre « Sue et Billy’s hometown », et exposait les réalisation du livre.
A bientôt pour la suite du reportage sur le salon « pour l’amour du fil »
Tissu patchwork écru fleurs de Lys bleues, vertes, rouges - Florence's Fancy de Betsy Chutchian
Tissu patchwork rayures mordoré beige - Primrose d'Edyta Sitar
Quelle dextérité avec ces pièces si petites ! C’est charmant…
Mignon mais ce n’est pas ma tasse de thé
C est vraiment magnifique , j aime beaucoup
Très beau, quelle patience pour réaliser tous ces petits détails
Et c’est une agréable personne…
super beau comme toujours
Super il y a de magnifiques objets j’aimerais en réaliser
Il faut se lancer sans a priori
Trés mignon et quel travail !
Magnifiques toutes ces petites merveilles.
J’ai acheté le livre de Reiko Kato. Ce n’est pas pour réaliser autant de mignonneries mais pour m’y essayer au moins une fois. Je crois que je vais craquer sur une petite maison boite par exemple. Quelque chose que je puisse exposer dans mon atelier et qui, de plus, aura une utilité. J’ai été ravie de croiser cette artiste humble et discrète et de voir, de près, son travail si précis…. il y a beaucoup d’humanité dans ce travail… Si un jour j’ai un arrière petit-enfant, qui sait si je n’irais pas plus avant dans la reproduction du travail de Reiko Kato ?